"Je crois que j'ai été violée." Ainsi commence une réflexion percutante et toute personnelle sur le monde dans lequel nous…
vivons, sur les systèmes inégalitaires qui s'y perpétuent, sur ce qu'est être une femme dans une société créée par et pour les hommes et où les femmes, depuis toujours, ricochent de violence en violence. Une réflexion aussi sur l'influence de ces systèmes sur nos relations. Est-il encore possible - a-t-il jamais été possible - de rêver à un amour vrai, où le couple ne serait pas le lieu d'une guerre de pouvoir?
Est-ce que la politique québécoise demeure un monde d'hommes ? Ou bien est-ce que les femmes, de plus en plus…
nombreuses à l'Assemblée nationale, y ont enfin trouvé leur place ? Qu'est-ce que les femmes politiques ont à dire sur le sujet ? La journaliste Jocelyne Richer a cherché à obtenir des réponses à ces questions en offrant une tribune à des dizaines d'élues et d'ex-élues.
Âgée de seulement 15 ans, Josée entre au cégep, lit Dostoïevski et Duras, fume des joints, se fait prescrire la…
pilule, écoute Genesis en boucle et aspire à une indépendance nouvelle, loin de l'autorité parentale. Portée par le vent d'émancipation des années 70, séduite par les courants marginaux, elle s'inscrit à un cours d'antiphilosophie donné par R., prêtre défroqué, littéraire charismatique de trente ans son aîné. À l'encre rouge, en marge des travaux de la cégépienne, la relation professeur-étudiante s'échafaude, entre passion et ambivalence, entre amour et déviance