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Articles 1 à 14 sur 14
Par Michel Auger. 2018
" Si les États-Unis ont leur fake news , signe dun pays divisé où on a du mal à trouver…
le sens du compromis et le centre politique, au Québec, ce sont plutôt nos mythes dans les domaines identitaire, politique, social et économique qui tiennent lieu de fake news . Il s'agit d'idées reçues et d'exagérations de la vérité ayant pu être fondées dans un passé lointain, mais qui prennent encore de nos jours une place démesurée dans le discours public. Le but de ce livre est d'amener les lecteurs à déboulonner ces idées reçues en les soumettant à l'épreuve des faits. "Par Jacques Lacoursière. 2008
Par Robin Philpot. 2005
"Le dicton populaire veut que la vérité choque et on n'aura jamais si bien dit à propos de ce livre.…
Canadien anglais d'origine, Robin Philpot a adopté le Québec il y a plus d'un quart de siècle. Quand il a demandé à des acteurs importants de la victoire du NON de lui parler de leur rôle lors du référendum de 1995, ceux-ci ne se sont pas doutés de ses convictions souverainistes. Tel un Michael Moore, il a obtenu les confidences étonnantes de Brian Tobin, concepteur et organisateur du mal nommé love-in du 27 octobre 1995, de l'ineffable Sheila Copps, qui souhaitait "écraser" les souverainistes, de John Rae, responsable des affaires politiques de Power Corporation et homme à tout faire de Jean Chrétien, de James Blanchard, ancien ambassadeur américain au Canada et de plusieurs autres. De leurs témoignages ressort un mot d'ordre : la fin justifie les moyens. [...]" -- 4e de couvPar Nadia Plourde. 2008
"À l'école Arsaniq (aurore boréale en inuktitut), dans le village de Kangiqsujuaq, au Nunavik, une nouvelle enseignante écrit chaque semaine…
à ses proches. Elle raconte des expériences pédagogiques et des visites de parents, des parties de pêche sous la glace et des parties de Scrabble avec un missionnaire belge . Mais elle témoigne surtout de son amour pour ses élèves de la fin du primaire. Nadia Plourde porte un regard. émerveillé sur le quotidien dans le Grand Nord, l'enseignement de la langue française et même la collecte des eaux usées. C'est avec beaucoup d'humour et d'émotion qu'elle nous fait part de sa passion pour la culture inuite, les paysages nordiques et les corbeaux." -- 4e de couvPar Peter Newman. 2017
Enfin disponibles en français, les entretiens entre le chroniqueur politique le plus influent au Canada et un premier ministre qui…
a marqué la politique canadienne. Un portrait intime, à la fois choquant et éclairant. "Au cours de nos longs entretiens, j'ai appris à connaître l'homme derrière le politicien : l'Irlandais bouillant de Baie-Comeau, qui laissait libre cours à son tempérament, son langage, ses émotions. Ces enregistrements secrets révèlent l'être chaleureux et vif d'esprit, l'homme de chair et de sang derrière le masque du premier ministre. Qu'il aime ou haïsse le personnage, je garantis que le lecteur trouvera dans ce portrait une révélation rafraîchissante." -- 4e de couvPar Gérard Bouchard. 2007
"Le discours de la crise culturelle bénéficie actuellement d'une vogue et d'un crédit importants. Qu'en est-il au Québec ? Comment…
regarder l'avenir ? Sommes-nous dans une situation prometteuse ou en déclin ? La culture est-elle en crise ? Si oui, quelles en sont les manifestations, l'intensité, les causes ? Est-il possible d'y remédier ? S'il n'y a pas de crise, comment caractériser la situation présente ? Comment expliquer la vigueur du discours de crise ? Pour répondre à ces questions, Gérard Bouchard et Alain Roy ont interrogé par voie de sondage 141 intellectuels québécois. Il en résulte un portrait de la situation du Québec actuel aussi riche que nuancé, dont ce livre offre un condensé à partir d'un dépouillement rigoureux des résultats. Ensuite, les deux coauteurs se sont prêtés à leur tour au jeu et ont rédigé, chacun de son côté, un essai en guise de réponse au questionnaire. Rédigés parallèlement à l'analyse des réponses, ces deux essais offrent autant de visions complémentaires et contrastées de notre société. Un livre percutant, intelligent, stimulant, qui apporte un riche matériau aux débats actuels sur la société québécoise." -- 4e de couvPar Jean-Claude Germain. 2009
Au croisement de l'histoire, de l'humour et de l'esprit, il y a Jean-Claude Germain, l'incontournable et inamovible chroniqueur de la…
Nouvelle-France. Il était là, dans les coulisses des forts, en marge des champs de bataille, tapi dans l'ombre des ruelles de Montréal et de Québec. Il a tout vu, tout entendu, tout lu, et il nous raconte tout. Vingt épisodes, consacrés à autant de personnages ou d'événements marquants [...]. On y croise Jeanne Mance, Maisonneuve, Frontenac, Madeleine de Verchères, Le Moyne, Montcalm, et plusieurs autres encore; on y rencontre aussi des Amérindiens de tout poil, et même des Américains, dont Benjamin Franklin et le général Washington lui-même. Grâce à sa plume espiègle et son immense culture, Jean-Claude Germain nous prouve une fois encore que la petite et la grande histoire sont indissociables. -- 4e de couvPar Jean Chrétien. 2007
"[...] Dans Passion politique, Jean Chrétien raconte, avec la complicité du journaliste Ron Graham et du romancier Daniel Poliquin, les…
dix ans qu'il a passés comme premier ministre du Canada. On retrouve dans ce livre le Jean Chrétien que tout le monde connaît : le politicien pragmatique, le Canadien farouchement attaché à l'unité de son pays. On découvre également un aspect de l'homme moins connu : le médiateur des grandes rencontres internationales. Mais, toujours, il étonne par l'acuité de son instinct politique et charme par le ton inimitable de son récit. Tout en nous dévoilant les rouages de l'exercice du pouvoir à Ottawa, Jean Chrétien nous propose une galerie de portraits croqués sur le vif et de savoureuses anecdotes." -- 4e de couvPar Benoît Gignac. 2008
"De l'élection de Pierre Elliott Trudeau à titre de premier ministre du Canada jusqu'à la naissance du Parti Québécois en…
passant par "Les Belles-Soeurs", "l'Osstidcho", les batailles liguistiques ou étudiantes, le féminisme et le FLQ, ce livre chronique permettra au lecteur de survoler de façon divertissante un pan de vie politique, culturelle et sociale probablement inégalé dans l'histoire du Québec". -- 4e de couvPar John Saul. 2017
"Dans ce nouveau livre, John Saul poursuit son exploration de la psyché canadienne. En jetant une lumière originale et féconde…
sur notre histoire, il nous amène à remettre radicalement en question l'image que nous avons de nous-mêmes. "En ayant recours, pour nous définir, à un langage qui n'exprime ni notre véritable nature ni notre véritable mythologie, nous avons privé notre civilisation de sa force. Nous avons neutralisé notre capacité de discuter et d'agir d'une manière qui reflète notre inconscient collectif, nos exigences éthiques". -- 4e de couvPar Pierre Perrault. 2009
On associe spontanément Pierre Perrault à lîle aux Coudres ou à lAbitibi, au Grand Nord ou à lAcadie, à cause…
des films quil a tournés dans ces régions. Pourtant, cet amoureux du pays du Québec nen aimait pas moins sa ville natale, Montréal. Dans Jhabite une ville, une série démissions quil a réalisées pour la radio en 1965, il portait sur la métropole le même regard de poète ethnologue qui la rendu célèbre par ses films. Daniel Laforest propose ici un montage à partir des textes de cette série radiophonique, où alternent la voix du poète et celle des personnes quil a interviewées. Cest un Montréal déjà disparu qui revit dans ces pages : on y croise des laitiers qui font encore la livraison à domicile le matin, des débardeurs qui déchargent les marchandises à la force des bras avec leur crochet, des vieillards qui évoquent la vie de quartier dans leur enfance. Cest aussi le Montréal vibrant et industrieux des ouvriers des abattoirs ou des monteurs dacier, de tout un peuple de travailleurs qui saffairent et qui sagitent par tous les temps, et dont Pierre Perrault recueille la parole modeste et à hauteur dhomme pour la sauvegarder et la magnifier. Et, parmi ces témoins, on a parfois la surprise de rencontrer des gens plus connus, comme Robert Roussil ou Ti-Jean Carignan. -- 4e de couvPar Danielle Dubé. 2008
"Quand on lit Le bonheur est dans le Fjord, le compte rendu d'une tournée du Saguenay faite par Danielle Dubé…
et Yvon Paré, on en vient à croire que c'est là que le monde a commencé. Quelque chose comme le sentiment que, dans ce décor grandiose, on peut se dépasser, on peut agir différemment, on peut même refaire le monde. Laissez-vous porter par cette superbe machine un capteur de rêves ? , mue par le vent, l'eau et les mouvements secrets de la terre. On dirait une utopie que l'on suit des yeux, ravis, et qui file dans les cieux." -- 4e de couvPar Jean-François Nadeau. 2007
"Parlez de Pierre Bourgault (19342003) et aussitôt les images fusent : l'orateur, le chroniqueur, le polémiste, le militant, l'original, le…
professeur, le batailleur, l'entêté. Ce personnage toujours haut en couleur incarne puissamment à lui seul toute une partie de l'histoire sociale et politique du Québec du XXe siècle. Jean-François Nadeau a suivi le parcours de cet homme complexe et profondément sensible, marqué au fer rouge des blessures qu'inflige une vie menée sans compromis de bout en bout, jusque dans la démesure que favorise la passion. En historien, il a scruté la jeunesse, la formation intellectuelle et les actions politiques de cet être profondément original qui fut d'abord connu d'un large public à titre de président du Rassemblement pour l'indépendance nationale (RIN). Il a interrogé près de deux cents témoins et disséqué nombre de documents d'archives souvent inédits à ce jour. Il a traqué, en un mot, cet homme sur la piste de sa vie. [...]" -- 4e de couvPar Jean-Paul Desbiens. 2010
« Entre 1959 et 1960, onze lettres ont créé une onde de choc sans précédent dans la communauté politique québécoise.…
Un jeune frère enseignant, intelligent et cultivé, répond à l’éditorial d’un journaliste lucide et critique. Jean-Paul Desbiens réagit aux propos d’André Laurendeau, éditeur du journal Le Devoir. Nous sommes le 30 avril 1960. Laurendeau interroge les éducateurs francophones : « DE QUOI ONT-ILS PEUR, ET POURQUOI ? » demande-t-il. La réponse est assez simple, rétorque l’enseignant: « Nous avons peur de l’autorité. Nous vivons dans un climat magique où il s’agit, sous peine de mort, au moins, de n’enfreindre aucun tabou, de respecter toutes les formules, tous les formalismes. » Les propos du jeune frère ont résonné dans notre espace public. Mais ne devraient-ils pas résonner encore ? Les formalismes ont changé, mais peut-être en avons-nous créé de nouveaux ?... » -- 4e de couv